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Blueair fait partie des premières marques de solutions de purification de l’air à réaliser des tests contre le virus SARS-CoV-2 vivant.
Les termes employés pour désigner le virus sont souvent les mêmes en dehors du domaine scientifique. Pourtant, il est important de différencier les termes “COVID-19”, “coronavirus” et “SARS-CoV-2”, qui n’ont pas exactement la même signification.
SARS-CoV-2 : c’est le nom donné officiellement au virus physique, qui signifie coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère. Il s’agit d’une souche appartenant à la famille des coronavirus*.
COVID-19 : il s’agit de la maladie causée par le virus (“CO” signifie “corona”, “VI” correspond à “virus” et “D” à maladie, “disease” en anglais).
*Dans le contenu de cette page, le SARS-CoV-2 sera appelé « coronavirus ».
Selon le Center of Disease Control and Protection, l’exposition aux gouttelettes respiratoires représente la principale source d’infection par le SARS-CoV-2 (le virus responsable de la COVID-19). Cette exposition peut se produire par le biais d’un contact direct (par exemple, en serrant la main) ou de l’air [1].
Blueair a adopté une approche pragmatique en faisant tester ses purificateurs d’air HealthProtect™. Les résultats du laboratoire de biosécurité, MRIGlobal, montrent que ses purificateurs d’air de la série HealthProtect™ 7400 ont effectivement éliminé 99,99 % du virus en suspension dans l’air (SARS-CoV-2) d’une chambre de test du laboratoire de biosécurité de 0,37 m³ [2].
L’héritage suédois de Blueair inspire en matière de qualité. C’est pourquoi la marque prône la réalisation de tests effectués par des organismes indépendants, conformément à des méthodes qui produisent des résultats honnêtes et factuels. Là où d’autres marques déclarent être parvenues à éliminer le coronavirus en se basant sur des substituts de virus ou des intermédiaires, les méthodes de test de Blueair sont plus exigeantes. La marque a tiré profit de tout son savoir-faire, avec une technologie de pointe dans un laboratoire de biosécurité, en utilisant un coronavirus SARS-CoV-2 vivant.
Tout d’abord, il a fallu identifier l’un des rares laboratoires mondiaux capables de prendre en charge des tests avec des coronavirus aérosolisés vivants : MRIGlobal, qui se situe aux États-Unis. Le laboratoire de biosécurité accrédité a fait ses preuves en matière de sécurité et d’expertise, en effectuant des recherches scientifiques et techniques contractuelles pour des partenaires gouvernementaux et industriels, comme DOD, CDC, EPA et NIH.
Afin de tester les capacités d’élimination du coronavirus, un purificateur d’air Blueair HealthProtect™ 7410i a été placé à l’intérieur d’une armoire de sécurité biologique de classe III, d’un volume de 0,37 m³. Bien que les modèles de la série 7400 disposent de la certification AHAM Verifide® pour des tailles de pièces pouvant atteindre 38 m², la taille de la zone de test a été limitée par des protocoles de sécurité associés au volume autorisé de particules virales aérosolisées [3].
Une solution de particules virales vivantes a été pressurisée (une procédure aussi nommée aérosolisation) à l’aide d’un nébuliseur dans le but de générer des particules fines, similaires aux gouttelettes respiratoires propagées par une personne infectée. Ces gouttelettes peuvent rester en suspension dans l’air pendant plusieurs heures [4].
Pour évaluer la quantité de virus dans l’air sans purificateur d’air, 3 tests ont été effectués avec le purificateur d’air éteint à l’intérieur de l’armoire de biosécurité. Des particules virales ont été relâchées dans la zone à l’aide d’un appareil pressurisé, transformant les particules en brouillard aérosolisé. Un ventilateur a ensuite permis de diffuser ce brouillard pendant 10 minutes afin de garantir une répartition homogène sur l’ensemble du volume de la pièce. Après 5 minutes, la concentration de particules de coronavirus dans l’air a été mesurée par prélèvement d’un échantillon. La moyenne sur 3 échantillons a constitué la mesure de référence.
Dans un second temps, le même processus a été renouvelé 3 fois, en allumant cette fois-ci le même purificateur d’air après les 10 minutes de ventilation. Comme pour les 3 tests de référence, des échantillons d’air ont été prélevés au bout de 5 minutes afin de mesurer la concentration de particules de coronavirus aérosolisées. La moyenne de ces 3 prélèvements a permis de mesurer la réduction ou la suppression des particules.
Par rapport aux mesures de références, les résultats montrent que 99,99 % du SARS-CoV-2 aérosolisé vivant a été éliminé de l’air dans la chambre de test.
Pour en savoir plus sur la ventilation et la circulation d’un air purifié dans le but de réduire l’exposition au coronavirus, veuillez consulter les indications et les conseils des Centers for Disease Control and Prevention et de l’Environmental Protection Agency des États-Unis [5].
Lorsqu’ils sont utilisés correctement, les purificateurs d’air peuvent aider à réduire les contaminants en suspension dans l’air, y compris les virus que l’on trouve dans les foyers ou les espaces confinés.
[1] CDC, « Science Brief : SARS-CoV-2 and Potential Airborne Transmission » (Actualités scientifiques : SARS-CoV-2 et transmission aérienne potentielle), octobre 2020.
[2] Purificateur HealthProtect™ série 7400 testé pour un volume de 0,37 m³. Il n’a pas été prouvé que l’appareil détruit le SARS-CoV-2 ni ne réduit ou n’empêche la transmission de la COVID-19.
[3] Les résultats obtenus pour un volume de test de 0,37 m³ ne peuvent pas être extrapolés à des pièces plus grandes.
[4] CDC, « Ventilation in Buildings » (Ventilation dans les bâtiments), 21 décembre 2020.
[5] EPA, « Will an air cleaner or air PURIFIER help protect me and my family FROM COVID-19 in my home? » (Un purificateur d’air contribuera-t-il à protéger les membres de mon foyer de la COVID-19 ?), 12 janvier 2021.
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